Baisées de cigarettes, baisées de fumées
Rien qu'un souffle mais sur les lèvres est posé
L'évanescence qui imprime l'amour de l'éternel
Qui trouble les esprits séduits par ses appels
Dans cette chair s'entrouvre la plaie sur le gouffre
Laissant le goût du vice en un seul souffle
Insinuant l'abîme entre deux âmes étourdies d'une promesse
Qui vivent pour oublier le mal qu'il y a à la détresse
Poème écrit à il y a assez longtemps, pour dire que parfois l’on veut croire à quelque chose, qu’on s’illusionne sans doute mutuellement, qu’on veut vivre quelque chose de fort, qui nous dépasse, mais que cela peut être l’union mutuelle de la volonté d’oublier.
© Humain en pages
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